DANS LA PEAU D'UN CHERCHEUR D'OR...

"T.A.C.A CHERCHER DE L'OR"

STAGE D'ORPAILLAGE EN RIVIÈRE L'ISLE (255,3 km), 

RIVIÈRE ASSEZ IRRÉGULIÈRE À L'INSTAR DE SES VOISINES ...

 WEEK END 

DU 

24 et 25 SEPTEMBRE 2022 

À 

JUMILHAC-LE-GRAND EN DORDOGNE...

La Dordogne, née dans le tumulte de la révolution sur les cendres du comté du Périgord.

Le précieux patrimoine de la Dordogne s'inscrit dans des paysages uniques, faits de murailles calcaires, balisant les sentiers de randonnées entourés  de châtaigniers et de noyers.

Les collines boisées et verdoyantes, plantées de magnifiques châteaux et de forteresses semble pouvoir raconter l'histoire de l'Homme depuis l'âge des cavernes jusqu'aux guerres de religion.

Récolter des paillettes d'or, des minéraux et des pierres semi précieuses les doigts de pieds dans l'eau, accompagné de Philippe Roubinet (guide - animateur).

Merci à Mr Roubinet (grand maître d'initiation) pour sa patience face aux gros blagueurs de la section (T.A.C.A dire des conneries)...

Déplacement vers la Dordogne en covoiturage 

(Le Mille-Pattes protège la nature et l'environnement)...

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Le samedi matin :

 Départ du marronnier à 7h00, visite du village de Jumilhac-le-Grand et à midi, 

pique-nique tiré du sac à dos sur le bord de la rivière l'Isle.

 Samedi après-midi : Trois heures d'initiation à la recherche du métal jaune et des pierres précieuses ainsi qu'une 1/2 heure sous un gros chêne à se protéger d'un torrent de pluie.

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Samedi fin de journée : Hôtel "la Tour Blanche" à Saint-Yrieix-la-Perche 

et repas au resto de l'hôtel.

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Le dimanche matin : Départ à 9h00 pour la visite du château de Jumilhac-le-grand accompagné d'une guide en herbe de premier choix (merci à Gabrielle)... 

Guide récompensée  d'une dizaine de crocodiles haribo (le mille-pattes est généreux)...

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Après la visite : départ (avec le pique-nique) en direction de Saint-Jean-de-Côle pour une visite du village, de son église et de sa buvette ( Saint-Jean-de-Côle, plus beau village de France).

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Saint-Jean-de-Côle : Le Château de la Marthonie - L'Église romano-byzantine du XIIe - Le Prieuré des XVIe et XVIIe - Le Pont à dos d'âne du XVe... sans oublier la vieille rue aux maisons à colombages et aux toits pittoresques.

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Jumilhac le Garand : L'altitude du territoire communal varie entre 186 mètres et 442 mètres.

Le château des XVe, XVIe et XVIIe siècles, visitable, est classé au titre des monuments historiques à trois reprises en 1922, 1923 et 1924 - L'ancien  pigeonnier du château, qui n'est plus rattaché au domaine, demeure à l'entrée sud du bourg, au bord de la route départementale 78 - L'église Saint-Pierre-ès-Liens du XIIe et XIVe siècles, de styles roman et gothique, est inscrite au titre des monuments historiques en 1925 - Le pont de la Tour, endroit où l'Isle quitte le Limousin pour entrer en Aquitaine, est classé au titre des monuments historiques en 1984 - La « Galerie de l'Or » présente l'OR, depuis son exploitation jusqu'à ses différentes applications.

Photos : Les Mille-Pattes de Saintonge

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LES JOURNÉES DU PATRIMOINE - PRESBYTÈRE - PORCHE ET MOULINS SUR LA COMMUNE DE PONT L'ABBÉ D'ARNOULT...

DIMANCHE 18 SEPTEMBRE 2022 

Après la déambulation et la lecture des six lutrins disposés à des endroits biens spécifiques de la commune de Pont l'Abbé d'Arnoult, les Mille-Pattes sont repartis à la rencontre de neuf des dix moulins restants debout sur la commune. 

Visite impromptue du moulin de Paluaud (Un grand merci à sont propriétaire).

Ancienne gare de Pont l'Abbé (Charente inférieure)...

De retour sur le village, pique-nique derrière le prieuré et à 14h00, visite de l'exposition de cartes postales anciennes de Pont l'Abbé à l'intérieure du presbytère.

(un grand merci à Mr Roland Clochard pour le prêt de ses cartes postales anciennes)

Avant le décret du vendredi 2 mars 1962 qui lui a donné son nom actuel, le village s’appelait simplement Pont-l'Abbé, et Pont-Libre durant la Révolution Française.

Par ordonnance du 13 novembre 1825, les anciennes communes de Saint-Michel-de-la-Nuelle et la La Chaume furent rattachées à Pont-l'Abbé. 

Photos : Les mille-Pattes de Saintonge

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ARCES-SUR-GIRONDE (Ch-M)

DIMANCHE 04 SEPTEMBRE 2022

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ARCES s/GIRONDE en Charente-Maritime

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Une forme d'excitation mêlée d'appréhension accompagne souvent (toujours) les prémices d'une randonnée non préparée et sans, au préalable de reconnaissance...

Au final ! super randonnée sous le soleil de 11,500 km avec des vues sur la Gironde et Talmont à couper le souffle.

Au XIe siècle, Arces est un petit bourg doté d'une église dédiée à Saint-Martin.

Si des restes de silex taillés et polis furent autrefois retrouvés sur le territoire de la commune, attestant une occupation humaine dès la période néolithique, 

c'est à l'époque romaine que le village semble avoir été fondé.

 Situé au bord d'une voie romaine reliant la capitale de la cité des Santons

 (Mediolanum Santonum), au port de Novioregum.

Les origines de l'église Saint-Martin d'Arces semblent remonter au moins au XIe siècle. 

Cédée en 1086 à l'Abbaye Saint-Étienne de Vaux, elle sera reconstruite au cours du XIIe siècle.

De cette période date son abside à trois pans, de style roman, seul vestige de l'édifice originel, qui sera considérablement remanié au cours de son histoire. D'importants travaux ont lieu à partir de 1670, lesquels modifieront la structure de la nef. La façade quant à elle, fut édifiée en 1703. Elle se compose d'une porte à fronton triangulaire brisé, surmontée d'une baie  rectangulaire, et est encadrée par deux contreforts massif. 

 Le clocher octogonal, surmonté d'une flèche d'ardoise, se dresse à la croisée du transept. La décoration de l'abside fut entièrement repensée au XIXe siècle : de cette époque datent les fresques murales et la voûte céleste peinte sur le cul-de-four.

Les vitraux et la statuaire ornant l'édifice datent également de cette époque. Le retable qui se trouve dans le choeur fut restauré en 1994. 

L'église  Saint-Martin fut classée monument historique le 19 janvier 1911.

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 Au XVIIe siècle, la dame de Théon se rendit célèbre pour sa haine des Calvinistes, qu'elle persécuta. Cette haine était d'autant plus vive que sa seigneurie avait été assiégée par les soldats de Benjamin de Rohan, l'un des principaux chefs du parti protestant, et que son frère avait été tué durant le siège de Royan (1622 ou 1624). Elle fit saisir les meubles et démolir les maisons des protestants qui, réduits à la misère, allèrent porter l'affaire devant la duchesse de La Trémoille. Ayant droit de justice, elle fit condamner à mort entre 140 et 160 protestants, les uns étant roués vifs, les autres pendus.

Photos : Les Mille-Pattes de Saintonge

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