Palanquée de bois tapissés de muguet où s'enchevêtre chemins, layons et sentiers tortueux à fourvoyer le meilleur guide de France (que dis-je ! du monde).
je parle du guide pour un jour, celui des Mille-Pattes de Saintonge...
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Boucle de 11,500 km à la recherche de la grotte de bois Bertaud placée sous le signe
de la patience et de la méticulosité..
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"Matinée de la Fête des pères"
à
SAINT-LÉGER-EN-PONS
Ses habitants sont appelés les Saint-Légerois et les Saint-Légeroises.
Au croisement des : GR de Pays de Saintonge et du GR 655
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Les Mille-Pattes de Saintonge dans le bois des vilaines...
Qui a dit être perdus ??? non ! à la recherche de la grotte de bois Bertaud.
"Ce n'est pas pareil"...
Ancien Château
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L'Église Saint-Léger de Saint-Léger (romane).
Elle fut construite en style roman durant la deuxième moitié du XIIe siècle et remaniée au XVe siècle.
La petite voussure du portail porte l'inscription latine suivante : "Paix à celui qui entre, bonheur à celui qui sort, qu'il soit heureux en suivant les lois du Seigneur"...
Classée le 24 janvier 1931.
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Puits couvert
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Grottes de Roche-Madame et de Bois Bertaud.
La salle sépulcrale de la grotte de Bois Bertaud date de l'âge de bronze.
Découvert, des os humains, soit une dizaine d'individus en complet désordre, surmontée de plusieurs couches associant des dépôts culinaires : ossements de bétail - bovins, moutons, cochons - ainsi que de cheval sauvage, de la poterie, des lames de silex, un broyeur. Les très abondants charbons de bois recueillis furent ultérieurement datés entre 5530 et 5700 av. J.-C. Ces vestiges seraient à rattacher au néolithique ancien sans que l'on puisse dire si la grotte servit d'habitat ou de sépulture avec offrandes.
Départ du parking du Centre Audio-Visuel (CAREL), direction le front de mer, le port de plaisance, la conche de Foncillon, la pointe du Chay, passage à la conche du Chay, à la conche du Pigeonnier, à la conche de Pontaillac (casino) et retour par avenue Louise jusqu'au boulevard Bellamy, boulevard de Cordouan, rue du château d'eau (arrêt à l'église Notre-Dame), passage au temple, ainsi qu'au marché et retour au CAREL.
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Le marché couvert de Royan, en forme de coque ronde est édifié à partir de 1955 sur les plans des architectes Louis Simon et André Morisseau. Il succède à un marché couvert néo-classique construit en 1847qui fut totalement détruit lors des bombardements de la ville en 1945. Ses lignes audacieuses reprennent la forme d'un coquillageprenant appui sur 13 points sans qu'aucun pilier. Rien entrave la perspective, ce qui fut considéré comme une prouesse architecturale à l'époque.
Sa voûte est composée d'un fin voile de béton mesurant à peine 8 centimètres d'épaisseur.
Après les bombardements du qui détruisirent l'ancien sanctuaire néo-gothique qui datait de 1874, en 1958, a été édifiée en trois ans par les architectes Guillaume Gillet et Marc Hébrard,
l'église Notre-Dame.
Ses dimensions sont : une nef en ellipse de 45 mètres de long sur 22 mètres de large pouvant contenir environ 2 000 personnes, flanquée d'un déambulatoire et d'une tribune située à trois mètres du sol.
En 1872, le docteur Auguste Guillon crée un établissement thermal sur la falaise face à la conche de Pontaillac, répondant à la mode des « cures marines » qui faisaient sensation à l'époque.
Des « baignoires » d'eau de mer sont creusées à même la falaise, sur le rocher des Brandes :
celles-ci sont toujours visibles actuellement à marée basse.