dimanche 2 décembre 2018

SAINT-JULIEN-DE-L'ESCAP (Ch-M), IMPLANTATION HUMAINE DEPUIS DES TEMPS RECULÉS...



DIMANCHE 2 DÉCEMBRE 2018
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Randonnée de 13 km à Saint-Julien-de-L'Escap...
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Il faut être un(e) Mille-Pattes pour prendre une décision
 par une météo pareille.
Il faut du courage pour en accepter les conséquences.
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Il faut être un(e) Mille-Pattes pour avancer.
Il faut du courage pour accepter de s’être trompé.
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Il faut être un(e) Mille-Pattes pour affronter le vent, la pluie.
Il faut du courage pour accepter ses limites.
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Il faut être un(e) Mille-Pattes pour accepter l'épreuve. 
Il faut du courage pour en rire.
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Il faut être un(e) Mille-Pattes pour avancer l'échine courbée.
Il faut du courage pour ne pas renoncer.

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Ce dimanche matin, six pauvres petits Mille-Pattes ont eu ce courage...
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Ses habitants sont appelés les Escapiens et les Escapiennes.
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La Nie, affluent de La Boutonne et La Boutonne affluent de la Charente. 
La Nie et la Boutonne traversent la commune.

À voir :
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L'Église Saint-Julien.

Dont son mur sud avec ses trois fenêtres ; modillons de la façade.
Inscription par arrêté du 22 août 1949.
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Périodes de construction :
XIIe/XIVe siècles
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Une implantation humaine depuis des temps reculés.
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Ses habitants sont appelés les Escapiens et les Escapiennes...
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La cité se nommait Sanctus Julianus de Stapio. Julianus, à la fin d'une chasse, avait entendu un cerf lui annonçant qu'il tuerait ses parents. Pour éviter ce drame il avait fuit la région, mais la prédiction finit par arriver. Pour expier, Julianus fonda un lieu d'accueil, d'où son surnom de Julien l'hospitalier. Escap, qui a probablement été rajouté après, vers 1402, est un vieux mot employé pour désigner une étape. Il concernait pour Saint-Julien, une aumônerie qui représentait une halte-étape pour les pèlerins en route vers Saint-Jacques de Compostelle.
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Plusieurs Moulins à eau :

Moulin Brun...
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Moulin Vieux...
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Moulin Neuf...

 

Jean Coutenceau, né le 14 février 1787 à St Julien de l'Escap, décédé  le 27 octobre 1866 à St Julien de l'Escap, menuisier, puis agriculteur et homme politique.
 Il est député de la Charente-Maritime de 1848 à 1849, siégeant à gauche.
 Il démissionne une fois la constitution adoptée.


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Photos et commentaires : Jean-François B
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