LES MILLE-PATTES DE SAINTONGE
ÉTAIENT
À
ÉTAIENT
À
Tout y était !
Belle lumière et beau soleil de printemps, magnifique dégradé de verts, les fleurs aux couleurs chatoyantes le long des chemins étroits au goût de mystères, sans oublier l'élégance et le bel esprit des femmes et des hommes que forme cette association de randonnée pédestre...
Tout
y était. Belle lumière d’automne, vignes rougies qui courent le long
des jardins. Légère fraicheur du matin. Ruelles étroites au goût de
mystère. L’élégance des hommes et des femmes. - See more at:
http://www.mp2013.fr/histoiresvraies/bibliotheque/tout-y-etait/#sthash.TELtobW7.dpuf
Tout
y était. Belle lumière d’automne, vignes rougies qui courent le long
des jardins. Légère fraicheur du matin. Ruelles étroites au goût de
mystère. - See more at:
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-Circuit intéressant d'environ 14,050 kilomètres...
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Ses 626 habitants sont appelés les Novelariens et les Novelariennes.
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Altitude moyenne de 30 mètres
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Altitude moyenne de 30 mètres
LE PISTEUR EN CHEF (Jean-Louis G)
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Un grand merci à Pierre pour sa visite souterraine, tout le monde a bien apprécié.
(Enfin ! ceux qui se sont extirpés des entrailles de la terre, pour les autres,
attendre encore quelques jours qu'ils sortent)...
Par ordonnance du 31 mai 1825, la commune des Nouillers absorbe la commune du Pinier.
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Sur la commune des Nouillers, se trouvait le fief de La Vialière (ou Vialère), pour
qui le bailli de Taillebourg (Officier qui rendait la justice) fit comparaître, en 1420, à la requête de
son seigneur, Jean Isle, des témoins qui attestèrent l'ancienneté du
fief dans la maison Isle. L'église conserve, sur ses murs intérieurs, la
trace de plusieurs blasons (XV-XVIe siècles). Celui de la famille Isle se
voit sur le mur sud, disposé entre deux écussons juxtaposés, côté de la
chaire ; un second, qui a gardé ses couleurs, "d'argent à trois roses de
gueules boutonnées et feuillées de sinople (couleur verte représentée en gravure par des hachures en diagonales), posées 2 et 1", se trouve
sur un pilier près de la rampe de la tribune. Un document de 1473
précise que le tombeau des Isle est devant le maître-autel.
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ÉGLISE SAINT-PIERRE DES NOUILLERS
L'église romane du XIIe siècle des Nouillers est la dernière dans la direction du nord des églises à files de coupoles qui nous viennent du Périgord. Toutes ces églises ont une allure sévère et présentent l’aspect d’une forteresse : grands murs presque nus aux contreforts plats et peu saillants, façade aux décors très simples, arcatures et colonnes aux chapiteaux simplement épannelés, fenêtres étroites et sans décor.
À l’intérieur, la nef est divisée en trois travées d’égales dimensions en longueur et en largeur, séparées par des colonnes romanes très simples accolées à des pilastres plats, avec des chapiteaux très simples et portants des doubleaux. Chaque travée est couverte d’une très belle coupole byzantine sur pendentifs, et est éclairée de chaque côté par une fenêtre romane très simple et sans aucun ornement.
La coupole qui soutenait le clocher et l’abside en cul-de-four n’existe plus. Quand on peu y accéder, on remarque la chaire en pierre du XVIIIe siècle qui repose sur un pied cannelé et dont la cuve est ornée de motifs Louis XV.
Le bénitier du XVIIIe siècle à godrons tordus reposant sur un balustre, portant un écusson.
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ÉGLISE SAINT-PIERRE DES NOUILLERS
L'église romane du XIIe siècle des Nouillers est la dernière dans la direction du nord des églises à files de coupoles qui nous viennent du Périgord. Toutes ces églises ont une allure sévère et présentent l’aspect d’une forteresse : grands murs presque nus aux contreforts plats et peu saillants, façade aux décors très simples, arcatures et colonnes aux chapiteaux simplement épannelés, fenêtres étroites et sans décor.
À l’intérieur, la nef est divisée en trois travées d’égales dimensions en longueur et en largeur, séparées par des colonnes romanes très simples accolées à des pilastres plats, avec des chapiteaux très simples et portants des doubleaux. Chaque travée est couverte d’une très belle coupole byzantine sur pendentifs, et est éclairée de chaque côté par une fenêtre romane très simple et sans aucun ornement.
La coupole qui soutenait le clocher et l’abside en cul-de-four n’existe plus. Quand on peu y accéder, on remarque la chaire en pierre du XVIIIe siècle qui repose sur un pied cannelé et dont la cuve est ornée de motifs Louis XV.
Le bénitier du XVIIIe siècle à godrons tordus reposant sur un balustre, portant un écusson.
CHÂTEAU DE BOIS-CHARMANT
Le Château de Bois Charmant aux Nouillers (Ch-M) début du XVIIe siècle.
Dominant le bourg des Nouillers, il date du règne d'Henri IV.
La toiture est percée de lucarnes du XVIIIe siècle.
Les dépendances d'origine très ancienne, ouvrent sur la cour du Château par une grande porte encadrée de pilastres et fermée de grille.
Voyage au centre de la terre ou visite des entrailles de la terre.
(Notre guide : Pierre B)
Photo d'un ancien mercenaire à la solde des papillons et des grenouilles...
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C'est simple ! vous cliquez gauche sur l'une d'elle et le tour est joué.
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Photos : YB/JPB/JFB
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