LE PREMIER DIMANCHE DE DÉCEMBRE
À
À
Asnières-la-Giraude
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Asnières-la-Giraud (le chemin ânier, environ 13.500 kilomètres).
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Le chemin ânier, est celui du commerce du sel, mais également des poteries
et au retour,
du bois de chêne du Limousin
à destination des futailles pour stoker le vin d'Aunis.
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Asnières-la-Giraud :
C'est l'Asinus "âne" l'origine en latin du nom de ce sympathique village - C'est 1664 hectares - C'est 900 Asniérois et Asniéroises - C'était sur une route antique de Saulniers - C'était un lieu d'étape et de halte - C'est le Loubat (cours d'eau) qui serpente à travers la commune - C'est un vignoble situé en appellation Cognac (cru des fins bois), mais ! C'est également - le Château de la Laigne - le Logis de Chantageasse - de nombreux vieux puits - l'Église Saint-Médard, etc...
- LE SAVIEZ-VOUS ? -
Asnières-la-Giraud a souffert de sa proximité avec Saint-Jean-d'Angély.
Durant longtemps la commune n'a eu qu'un commerçant, un hôtelier. Un cabaretier s'est installé au XVIIIe siècle et un chirurgien en 1786. Cependant, il y avait de nombreuses "maisons des champs" et de nombreux retraités y résidaient.
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Le 24 janvier 1792, le premier centenaire connu en Charente-Maritime (Charente-Inférieure) est mort à Asnières-la-Giraud à l'age canonique de 102 ans sans jamais avoir été malade.
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En 1796, une femme obtient l'adjudication de fossoyeur, de sonneur de cloche et batteur de caisse.
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Le 26 août 1818 naît à Asnières-la-Giraud Pierre Roy de Loulay, homme politique français et décédé le 20 février 1896 à Paris. Il fut maire de Saint-Jean et sénateur sous la IIIe république.
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En 1875, le phylloxéra apparu au Fief-du-Bourg et décime peu à peu les vignes qui couvraient 592 hectares des coteaux du pays en 1866. 19 ans plus tard, en 1885, il ne reste que 35 hectares.Les paysans s'orientent alors vers l'élevage des vaches laitières et créent une laiterie en 1913 qui fermera en 1960.
Après la seconde guerre mondiale les terre seront de nouveau plantées en vignes. Le vignoble est aujourd'hui de 150 hectares.
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Le 21 juillet 1937 Asnières accole à son nom celui de La Giraud, un hameau voisin, et devient Asnières-la-Giraud.
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77 mètres d'altitude, voilà les amis (es) l'altitude maxi de la commune...
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Asnières-la-Giraud (le chemin ânier, environ 13.500 kilomètres).
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Le chemin ânier, est celui du commerce du sel, mais également des poteries
et au retour,
du bois de chêne du Limousin
à destination des futailles pour stoker le vin d'Aunis.
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Asnières-la-Giraud :
C'est l'Asinus "âne" l'origine en latin du nom de ce sympathique village - C'est 1664 hectares - C'est 900 Asniérois et Asniéroises - C'était sur une route antique de Saulniers - C'était un lieu d'étape et de halte - C'est le Loubat (cours d'eau) qui serpente à travers la commune - C'est un vignoble situé en appellation Cognac (cru des fins bois), mais ! C'est également - le Château de la Laigne - le Logis de Chantageasse - de nombreux vieux puits - l'Église Saint-Médard, etc...
- LE SAVIEZ-VOUS ? -
Asnières-la-Giraud a souffert de sa proximité avec Saint-Jean-d'Angély.
Durant longtemps la commune n'a eu qu'un commerçant, un hôtelier. Un cabaretier s'est installé au XVIIIe siècle et un chirurgien en 1786. Cependant, il y avait de nombreuses "maisons des champs" et de nombreux retraités y résidaient.
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Le 24 janvier 1792, le premier centenaire connu en Charente-Maritime (Charente-Inférieure) est mort à Asnières-la-Giraud à l'age canonique de 102 ans sans jamais avoir été malade.
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En 1796, une femme obtient l'adjudication de fossoyeur, de sonneur de cloche et batteur de caisse.
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Le 26 août 1818 naît à Asnières-la-Giraud Pierre Roy de Loulay, homme politique français et décédé le 20 février 1896 à Paris. Il fut maire de Saint-Jean et sénateur sous la IIIe république.
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En 1875, le phylloxéra apparu au Fief-du-Bourg et décime peu à peu les vignes qui couvraient 592 hectares des coteaux du pays en 1866. 19 ans plus tard, en 1885, il ne reste que 35 hectares.Les paysans s'orientent alors vers l'élevage des vaches laitières et créent une laiterie en 1913 qui fermera en 1960.
Après la seconde guerre mondiale les terre seront de nouveau plantées en vignes. Le vignoble est aujourd'hui de 150 hectares.
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Le 21 juillet 1937 Asnières accole à son nom celui de La Giraud, un hameau voisin, et devient Asnières-la-Giraud.
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77 mètres d'altitude, voilà les amis (es) l'altitude maxi de la commune...
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De l'église Saint-Médard du XIIe, ne subsistent que le mur du chevet et trois fenêtres romanes.Elle a été relevée au XIVe siècle et la façade refaite au XIXe siècle.
Le
clocher à hauteur du coeur est coiffé d'un toit à charpente pyramidale à
huit pans et quatre pyramidions en ardoise. L'église renferme des
chapiteaux ornés et deux culots sculptés d'un animal à tête humaine et
d'une sirène.
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Photos : jfB
Avant que la laiterie Coopérative des Fontaines d'Asnières soit fondée vers 1907 pour la fabrication de beurre conditionné en paniers, puis en plaquettes enveloppée de papier sulfurisé, le lait était conduit à la laiterie de Vervant par voiture à cheval.
La laiterie coopérative employait de 15 à 20 personnes (des laitiers, des rouliers, des porchers, des fromagers, des chauffeurs, des mécaniciens, des empaqueteuses, des beurriers...
Elle était adhérente à l'Association Centrale des Laiteries Coopérative des Charentes et du Poitou.
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