ÉTAIENT
À
LA CHAPELLE-DES-POTS
-
Berceau de la céramique traditionnelle Saintongeaise
-
-
Le programme :
L'église Saint-Front (jamais ouverte) et le lavoir, puis partir en direction du vallon où coule le Bourru, au lieu-dit Chez Corbineau, à l'angle de la route Saintes/La Chapelle, lavoir en réfection, Chez Brunet (hors sentier) descendre sur la Fontaine (400 mètres aller-retour), repartir en direction de Chez Thoreau (à voir, petit lavoir-Fontaine, source du Bourru) et retour sur la Chapelle-des-Pots en cheminant gentiment après de belles traversées forestières.
L'église Saint-Front (jamais ouverte) et le lavoir, puis partir en direction du vallon où coule le Bourru, au lieu-dit Chez Corbineau, à l'angle de la route Saintes/La Chapelle, lavoir en réfection, Chez Brunet (hors sentier) descendre sur la Fontaine (400 mètres aller-retour), repartir en direction de Chez Thoreau (à voir, petit lavoir-Fontaine, source du Bourru) et retour sur la Chapelle-des-Pots en cheminant gentiment après de belles traversées forestières.
-
Le village doit son existence et son nom à la présence dès le 13e siècle d'ateliers de poterie réputés pour leurs produits vernissés de couleur verte.
Les potiers s'installèrent dans la commune et celles environnantes car il y avait les matières premières essentielles pour la fabrication de la poterie : le bois, le sol argileux et les cours d'eau.
Vers 1320, les potiers firent bâtir une chapelle (détruite, puis remplacée en 1786 par une église). La Chapelle-des-Pots eut une renommée internationale, de l'Angleterre à l'Amérique du Nord.
Bernard Palissy s'y initia à l'art de la céramique. Il s'agissait d'un artisanat rural et familial. Deux sortes de poterie étaient produites : la poterie utilitaire à usage local et une poterie de luxe destinée à l'exportation. Les plus belles pièces ont été produites à la Renaissance.
L'artisanat de la céramique de la Chapelle-des-Pots a décliné vers la moitié du 19e siècle, concurrencé par les productions industrielles des pays du Nord.
Le four artisanal s'est éteint en 1908.
-
Les habitants de La Chapelle-des-Pots se nomment les Chapelains et les Chapelaines.
-
L'altitude maximum est de 88 mètres, la minimum est de 19 mètres
Le village doit son existence et son nom à la présence dès le 13e siècle d'ateliers de poterie réputés pour leurs produits vernissés de couleur verte.
Les potiers s'installèrent dans la commune et celles environnantes car il y avait les matières premières essentielles pour la fabrication de la poterie : le bois, le sol argileux et les cours d'eau.
Vers 1320, les potiers firent bâtir une chapelle (détruite, puis remplacée en 1786 par une église). La Chapelle-des-Pots eut une renommée internationale, de l'Angleterre à l'Amérique du Nord.
Bernard Palissy s'y initia à l'art de la céramique. Il s'agissait d'un artisanat rural et familial. Deux sortes de poterie étaient produites : la poterie utilitaire à usage local et une poterie de luxe destinée à l'exportation. Les plus belles pièces ont été produites à la Renaissance.
L'artisanat de la céramique de la Chapelle-des-Pots a décliné vers la moitié du 19e siècle, concurrencé par les productions industrielles des pays du Nord.
Le four artisanal s'est éteint en 1908.
-
Les habitants de La Chapelle-des-Pots se nomment les Chapelains et les Chapelaines.
-
L'altitude maximum est de 88 mètres, la minimum est de 19 mètres
L'église Saint-Front est reconstruite au XVIIIème siècle et transformé en 1848. Au XIXème siècle une nouvelle façade est édifiée surmontée d'un clocher carré.
L'autel en bois proviendrait de la chapelle des jésuites de Saintes.
-
Photos : PB/YB/jfB
Photos : PB/YB/jfB
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire